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admin
2017-05-02T13:10:30+00:00
« Ne juge aucun homme avant d’avoir marché avec ses mocassins durant sept lunes. »
Dicton amérindien
De vraies histoires, des regards nouveaux – dans nos films, nous regardons le monde avec les yeux de nos protagonistes. Nous nous mettons à leur place et retraçons leurs chemins.
Notre but : raconter des choix différents, parfois surprenants qui raisonnent avec les grandes questions de société.
Pour nous, les protagonistes de nos films ne sont pas là pour véhiculer nos idées, mais nous sommes là pour traduire leur regard sur le monde.
A tout moment, ce sont eux les acteurs de leur destin, c’est leur vision qui compte pour nous.
A nous d’insérer ces regards multiples et souvent antagonistes dans un contexte plus vaste, celui d’une question de société qui nous préoccupe tous.
Nos films ne sont pas là pour clore des débats, mais pour en ouvrir…..
Instaurer un cadre de confiance avec nos protagonistes. Prendre le temps pour faire un bout de chemin ensemble dans lequel la caméra suit naturellement, sans gêner.
Eviter les jugements de valeurs par rapport au choix de nos protagonistes. Le but final est de prendre de la hauteur, d’ouvrir le débat…
Le Mont-Blanc est-ce pour tout le monde? De plus en plus de personnes tentent l’ascension du toit de l’Europe et prennent des risques inconsidérés. Que cherchent-ils? Est-ce la bonne approche de la nature?
Les Banlieues, terreau de l’islam radical? Comment vivent réellement les jeunes dans nos banlieues? Quelles sont leur possibilités pour l’avenir, quelle est leur vision du monde?
Mère à plus de 50 ans ? De plus en plus de femmes deviennent mère après la ménopause grâce à un don d’ovocytes. Comment vivent-elles leur maternité? Quelles sont les conséquences pour les enfants?
Nous allons chercher nos interlocuteurs parce que leur vécu nous intéresse même s’il est différent de ce à quoi nous nous attendions.
Nous évitons des questions orientées qui poussent à dire plutôt une chose qu’une autre. Nous posons des vraies questions par envie de comprendre.
Nous n’avons pas besoin de simplifier les points de vu. Nous les rendons dans leur complexité.
